15%
Get the Flash Player to see the wordTube Media Player.
15%, de Isabelle Taveneau. 09/02, Poitiers. (13%, 14%, et 15% se répondent…)
À propos de 13%, 14% et 15%.
À propos de 13%, 14% et 15%.
6 commentaires »
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI
Laisser un commentaire
Vous devez être identifié pour d�poser un commentaire.
Bonjour
Alors je reconnais le personnage d’hier.Aujourd’hui il y a quelque chose qui me dérange et c’est que malgré les efforts, ces corps me parlent beaucoup et ils me dissent être un peu mal à l’aise, un peu intimités par cette caméra. Peut être ce juste une impression perso, mais je ressens ça.
Commentaire par Natalia — Vendredi 9 février 2007 @ 19:32
simple…et, même s’il y a un peu de gaucherie ( sans jeu de mots :-), et bien, je me dis que j’aurais pu être là moi aussi à échanger avec Antoine, Sylvie et Pascal. Sentiment d’une vraie rencontre,sans intrusion ni manipulation : du laisser agir, du laisser dire et …de l’écoute!
Paradoxe bien mené quant à la distance de la caméra qui finalement, à mes yeux, a réussi à créer une proximité avec les personnes filmées.( j’y connais rien en cinéma mais c’est ce que j’ai ressenti).
Intéressant car ce film peut permettre, si on veut, d’aller visiter notre héritage (ou non-héritage!) politique et tout ce qui s’ensuit en matière de « fidélité » dans ce domaine
Alors, bravo Isabelle
Commentaire par annie-claude — Vendredi 9 février 2007 @ 20:52
Ah oui, joli triptyque, avec une belle phrase de conclusion.
Commentaire par Thomas — Vendredi 9 février 2007 @ 22:06
Belle leçon d’éducation à l’intention des enfants et des parents. Les parents ne donnent pas de consigne de vote, mais des valeurs, respect, empathie, honnêteté…, et ils offrent un esprit critique qui permettra ensuite de faire son choix en conscience.
Commentaire par yvalin — Dimanche 11 février 2007 @ 0:02
Adopter l’empathie comme valeur est une très bonne chose. On peut avoir de l’empathie pour quelqu’un et ne pas l’aimer. L’empathie c’est s’identifier à quelqu’un, ressentir ce qu’il ressent, se mettre à sa place. C’est donc arriver à comprendre (ce qui ne veut pas dire accepter) son point de vue.
C’est sortir de son ego, c’est ne pas rester sclérosé sur nos positions, mais accepter la différence
Commentaire par yvalin — Dimanche 11 février 2007 @ 0:03
J’ai pris le train en marche et je viens seulement de visionner « une histoire de famille » (merci à marie pour la promo au profit de sa tatie!)
Je me demande si je ne vis pas dans une bulle, car je suis entouré de personnages similaires à ceux du film…et pourtant, rien ne change, le capitalisme nous écrase au quotidien sans que rien ne semble pouvoir l’arrêter.
De tels témoignages sont cependant salutaires pour que l’Espoir continue à nous animer!
Merci à toi, Isabelle.
Commentaire par michel b — Dimanche 4 mars 2007 @ 22:16